Nice Ordinateur Portable photos

Some cool ordinateur portable images:

No SMS…
ordinateur portable
Image by ImAges ImprObables
La technique c’est bien… hum… pas toujours! comme la langue d’Ésope (¹) Sur Flickr elle montre son bon coté… que d’amis j’y côtoie.. Le numérique c’est extraordinaire… mais encore pas réussit à faire une belle photo du temps de mon argentique… L’ordinateur super! mais j’écris de plus en plus mal à le plume… C’est bien car je fabrique des images 3D comme celle-ci (pompée de AàZ sur le site : Blender guru… ) mais je suis incapable de dessiner un mouton… Le portable c’est la révolution, mais pas moyen d’être seul… même aux c……. Alors cette année je casse mon iphone et je me mets au papier lettre… enfin c’est une de ces résolutions de fin d’année… ;)) Une très bonne années 2012 à tous mes contacts et les visiteurs de ma galerie… Merci de votre fidélité! que 2012 soit l’année de la révolution… l’évolution… Allez de l’avant…

(¹) Langue d’Ésope : La meilleure et la pire des choses.

Bibliothèque Carnegie
ordinateur portable
Image by ClélieMascaret
2, place Carnegie

Date de construction: 1921-1928
Architecte: Max Sainsaulieu

L’édifice est inscrit à l’Inventaire supplémentaire des Monuments Historiques.

La bibliothèque municipale de Reims est née à la fin du XVIIIe siècle. Ses collections ont été constituées à partir des confiscations des livres appartenant aux religieux: ceux du collège des jésuites dès 1764, ceux des abbayes rémoises et du chapitre de la cathédrale lors de la Révolution française.

Toutes ces collections, confiées par la Nation françaises à la Ville, sont d’abord installées au premier étage de l’Hôtel de Ville, où une petite salle de lecture est ouverte au public dès 1818.
La bibliothèque reste dans ces locaux un peu étroits tout au long du XIXe siècle.

La Première Guerre mondiale marque une profonde rupture dans l’histoire de la bibliothèque: le 3 mai 1917, un obus incendiaire détruit l’Hôtel de Ville et anéantit une grande partie des collections – sans toutefois endommager les ouvrages les plus précieux (près de 100 000 documents), mis à l’abri et épargnés par les bombardements.

En 1918, Reims est dévastée.
La municipalité n’aurait pu financer la reconstruction d’une bibliothèque sans l’aide exceptionnelle de la Dotation Carnegie pour la Paix Internationale, créée en 1910 par le magnat américain Andrew Carnegie (1843-1919); respectant l’esprit philanthropique et pacifiste de son fondateur, qui voyait dans la lecture publique un rempart de la civilisation contre la barbarie, la Dotation Carnegie décide au lendemain de la Grande Guerre d’offrir une bibliothèque aux villes alliées particulièrement meurtries par les bombardements: en France, c’est la ville de Reims qui est choisie (au même titre que Louvain en Belgique et Belgrade en Serbie).

La construction de la nouvelle bibliothèque est confiée à l’architecte rémois Max Sainsaulieu (1870-1953).
Débutés en 1921, les travaux s’achèvent en 1927.
Le bâtiment est inauguré le 10 juin 1828, en présence de Gaston Doumergue, président de la République et de Myron T. Herrick, ambassadeur des États-Unis.

La nouvelle bibliothèque, remarquable par la qualité des matériaux employés et le luxe de son ornementation, peut s’enorgueillir d’une conception des espaces très fonctionnelle, fort rare en France à cette époque.
Le bâtiment est fonctionnel, une distinction rigoureuse étant opérée entre espaces publics, espaces de stockage et espaces de travail pour le personnel.

Né en 1870 à Péronne, Max Sainsaulieu s’est formé à l’architecture auprès d’Edmond Duthoit, inspecteur des Monuments historiques en Algérie, avant d’entrer à l’École des Beaux-Arts de Paris.
Auteur de nombreuses réalisations à Reims et à Soissons avant la Grande Guerre (achèvement de l’église Sainte-Clotilde, église Saint-Benoît, maison de Jacques Simon rue Ponsardin…), il participe activement à la reconstruction de Reims dans l’immédiat après-guerre.

Lorsqu’il reçoit la commande de la construction, en décembre 1920, Max Sainsaulieu entreprend un voyage d’étude qui lui permet d’observer des exemples étrangers (Genève, Fribourg, Zurich, Bâle, Bruxelles, Louvain, Leyde…).
Sous l’influence de son fils Louis, Max Sainsaulieu remanie son premier projet (de facture très classique au départ), optant pour une esthétique moderne, typique du style Art Déco.

La généreuse dotation de 200 000 dollars offerte par la Fondation Carnegie lui permet d’utiliser des matériaux nobles et d’imaginer une décoration riche.

Il fait appel aux grands noms des arts décoratifs de son époque: les établissements Schwartz-Haumont réalisent la grande porte d’entrée en fer forgé; le sculpteur Édouard Sediey dessine les bas-reliefs du fronton; A. Biret installe les mosaïques du péristyle d’entrée; les marbres et la décoration du hall sont confiées à Merbès-Sprimont, d’après les maquettes d’Henri Sauvage; Jacques Gruber est sollicité pour la réalisation de la verrière et des baies de la salle de lecture; Madeleine Lacour exécute les pastels floraux qui ornent la salle de lecture.

Les choix décoratifs font de la bibliothèque un nouveau temple du savoir.

On pénètre dans le bâtiment en gravissant quelques marches, symbole d’élévation vers la connaissance.
Deux vases exécutés par la manufacture de Sèvres ornent la plate-forme du perron.
A l’entrée, deux pilastres dépourvus de chapiteaux sont surmontés d’un fronton classicisant orné d’arbustes gravés qui symbolisent la floraison de l’esprit.
On peut y lire la devise de la bibliothèque: «Educunt folia fructum» (les fleurs conduisent aux fruits).
Ce décor en bas-relief est l’œuvre du sculpteur Edouard Sediey.
La façade, ornée de mosaïques exécutées par Biret, est percée d’une grande porte en fer forgé réalisée par Schwartz-Haumont, qui obtint la médaille d’or lors de sa présentation à l’Exposition internationale des Arts Décoratifs de Paris en 1925.

Le hall d’entrée, carré majestueux de dix mètres de côté, est coiffé d’une voûte monumentale et d’un lustre en pendentif créé par le maître-verrier rémois Jacques Simon. Sous le lustre au centre du hall, une fontaine symbolise, selon Max Sainsaulieu, la «source de toutes les sciences et connaissances».
Les murs sont lambrissés de grands panneaux en onyx d’Algérie encadrés de bandes de marbre vert. Vingt mosaïques de marbre, conçues par Henri Sauvage, illustrent les diverses activités intellectuelles et physiques de l’homme.

La salle de lecture, avec son parquet en chêne et ses murs lambrissés d’acajou, dégage une atmosphère de sérénité propice à l’étude.
Elle est éclairée par trois baies latérales et une grande verrière zénithale qui sont l’œuvre de Jacques Gruber, célèbre maître verrier nancéien.
La grande verrière, qui représente un livre ouvert sur les armes de la Ville de Reims, est inscrite à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques.

Une salle d’exposition a été conçue dès l’origine, pour présenter les trésors de la bibliothèque.
Le parquet de cette salle, véritable travail de marqueterie juxtaposant des carrés de chêne et d’acajou, est particulièrement remarquable.
Au plafond, la corniche en forme d’escalier renversé est caractéristique de l’esthétique Art Déco.

Les collections sont stockées dans les magasins situés derrière la banque d’accueil.
Répartis sur cinq niveaux, ils peuvent contenir jusqu’à neuf kilomètres linéaires de documents.
Leur forme semi-circulaire, voulue par Max Sainsaulieu, impose une disposition des rayonnages originale, en étoile.
Les magasins ne sont accessibles qu’au personnel de la bibliothèque.

Jusqu’en 2003, la bibliothèque Carnegie était la principale bibliothèque de la ville.
Devenue trop étroite pour accueillir un public de plus en plus nombreux et pour stocker des collections devenues envahissantes, elle a été profondément rénovée en 2004-2005.

Dans le cadre du projet de Bibliothèque municipale à vocation régionale (BMVR), qui a permis l’édification d’une nouvelle médiathèque en 2003, la bibliothèque Carnegie s’est recentrée sur ses missions d’origine: la conservation et la valorisation des collections patrimoniales et locales.

Ce changement de statut a été rendu possible par d’importants travaux de réhabilitation, qui ont permis de faire renaître la splendeur Art Déco des salles d’accueil du public tout en mettant le bâtiment aux normes contemporaines d’accueil des publics et de conservation.

Les travaux de réhabilitation ont permis d’améliorer les conditions d’accueil du public.
L’ancien guichet en marbre, trop hiératique et non conforme aux normes modernes d’accessibilité, a été remplacé par une grande banque cintrée en chêne, dessinée par les architectes chargés de la restauration (J.-L. Roubert et J. Bléhaut).
C’est dans cet espace plus convivial que l’on informe et oriente le public, que l’on procède aux inscriptions, au prêt et au retour des documents.

Afin d’assurer un plus grand confort de lecture, l’ensemble du mobilier d’origine, conçu par Max Sainsaulieu, a été rénové.
Dans la salle de lecture, les tables en acajou ont été agrandies pour augmenter l’espace de travail, des lampes ont été ajoutées pour améliorer l’éclairage, des prises individuelles ont été intégrées pour permettre le branchement des ordinateurs portables.

De multiples postes informatiques, discrètement intégrés au mobilier, permettent d’accéder au catalogue en ligne de la bibliothèque, aux cédéroms et aux bases de données.

De nouveaux espaces d’animation ont été ajoutés. Au rez-de-chaussée, l’ancienne salle de prêt public, avec son lacis d’étagères de livres en libre accès, a été supprimée (la Médiathèque jouant désormais ce rôle).
Cette salle sert aujourd’hui de lieu d’exposition, conformément aux plans originaux de Max Sainsaulieu. Les travaux de réhabilitation ont permis de rénover le superbe parquet d’origine, marqueterie de bois de bout noyée dans du ciment rose.

Au rez-de-jardin, le départ des Archives municipales a permis d’aménager un atelier pédagogique, d’une capacité de 30 places, pour l’accueil des groupes scolaires et des ateliers organisés par la bibliothèque; une petite salle de conférence de 42 places permet aujourd’hui d’organiser conférences et colloques autour des collections que possède la bibliothèque Carnegie.

Les travaux ont également permis une mise aux normes de conservation actuelles.
Tous les magasins de conservation, équipés de fenêtres à double vitrage et de stores anti-UV, sont aujourd’hui climatisés pour garantir une stabilité thermohygrométrique adaptée.

Ouverte au public depuis juin 2005 après deux années de travaux, la bibliothèque Carnegie accueille tous les publics.
La consultation y est libre et gratuite, dans la limite des places disponibles.
Les conditions d’emprunt et de retour se font sous les mêmes conditions que dans les autres bibliothèques du réseau.

Bibliothèque Carnegie
ordinateur portable
Image by ClélieMascaret
2, place Carnegie

Date de construction: 1921-1928
Architecte: Max Sainsaulieu

L’édifice est inscrit à l’Inventaire supplémentaire des Monuments Historiques.

La bibliothèque municipale de Reims est née à la fin du XVIIIe siècle. Ses collections ont été constituées à partir des confiscations des livres appartenant aux religieux: ceux du collège des jésuites dès 1764, ceux des abbayes rémoises et du chapitre de la cathédrale lors de la Révolution française.

Toutes ces collections, confiées par la Nation françaises à la Ville, sont d’abord installées au premier étage de l’Hôtel de Ville, où une petite salle de lecture est ouverte au public dès 1818.
La bibliothèque reste dans ces locaux un peu étroits tout au long du XIXe siècle.

La Première Guerre mondiale marque une profonde rupture dans l’histoire de la bibliothèque: le 3 mai 1917, un obus incendiaire détruit l’Hôtel de Ville et anéantit une grande partie des collections – sans toutefois endommager les ouvrages les plus précieux (près de 100 000 documents), mis à l’abri et épargnés par les bombardements.

En 1918, Reims est dévastée.
La municipalité n’aurait pu financer la reconstruction d’une bibliothèque sans l’aide exceptionnelle de la Dotation Carnegie pour la Paix Internationale, créée en 1910 par le magnat américain Andrew Carnegie (1843-1919); respectant l’esprit philanthropique et pacifiste de son fondateur, qui voyait dans la lecture publique un rempart de la civilisation contre la barbarie, la Dotation Carnegie décide au lendemain de la Grande Guerre d’offrir une bibliothèque aux villes alliées particulièrement meurtries par les bombardements: en France, c’est la ville de Reims qui est choisie (au même titre que Louvain en Belgique et Belgrade en Serbie).

La construction de la nouvelle bibliothèque est confiée à l’architecte rémois Max Sainsaulieu (1870-1953).
Débutés en 1921, les travaux s’achèvent en 1927.
Le bâtiment est inauguré le 10 juin 1828, en présence de Gaston Doumergue, président de la République et de Myron T. Herrick, ambassadeur des États-Unis.

La nouvelle bibliothèque, remarquable par la qualité des matériaux employés et le luxe de son ornementation, peut s’enorgueillir d’une conception des espaces très fonctionnelle, fort rare en France à cette époque.
Le bâtiment est fonctionnel, une distinction rigoureuse étant opérée entre espaces publics, espaces de stockage et espaces de travail pour le personnel.

Né en 1870 à Péronne, Max Sainsaulieu s’est formé à l’architecture auprès d’Edmond Duthoit, inspecteur des Monuments historiques en Algérie, avant d’entrer à l’École des Beaux-Arts de Paris.
Auteur de nombreuses réalisations à Reims et à Soissons avant la Grande Guerre (achèvement de l’église Sainte-Clotilde, église Saint-Benoît, maison de Jacques Simon rue Ponsardin…), il participe activement à la reconstruction de Reims dans l’immédiat après-guerre.

Lorsqu’il reçoit la commande de la construction, en décembre 1920, Max Sainsaulieu entreprend un voyage d’étude qui lui permet d’observer des exemples étrangers (Genève, Fribourg, Zurich, Bâle, Bruxelles, Louvain, Leyde…).
Sous l’influence de son fils Louis, Max Sainsaulieu remanie son premier projet (de facture très classique au départ), optant pour une esthétique moderne, typique du style Art Déco.

La généreuse dotation de 200 000 dollars offerte par la Fondation Carnegie lui permet d’utiliser des matériaux nobles et d’imaginer une décoration riche.

Il fait appel aux grands noms des arts décoratifs de son époque: les établissements Schwartz-Haumont réalisent la grande porte d’entrée en fer forgé; le sculpteur Édouard Sediey dessine les bas-reliefs du fronton; A. Biret installe les mosaïques du péristyle d’entrée; les marbres et la décoration du hall sont confiées à Merbès-Sprimont, d’après les maquettes d’Henri Sauvage; Jacques Gruber est sollicité pour la réalisation de la verrière et des baies de la salle de lecture; Madeleine Lacour exécute les pastels floraux qui ornent la salle de lecture.

Les choix décoratifs font de la bibliothèque un nouveau temple du savoir.

On pénètre dans le bâtiment en gravissant quelques marches, symbole d’élévation vers la connaissance.
Deux vases exécutés par la manufacture de Sèvres ornent la plate-forme du perron.
A l’entrée, deux pilastres dépourvus de chapiteaux sont surmontés d’un fronton classicisant orné d’arbustes gravés qui symbolisent la floraison de l’esprit.
On peut y lire la devise de la bibliothèque: «Educunt folia fructum» (les fleurs conduisent aux fruits).
Ce décor en bas-relief est l’œuvre du sculpteur Edouard Sediey.
La façade, ornée de mosaïques exécutées par Biret, est percée d’une grande porte en fer forgé réalisée par Schwartz-Haumont, qui obtint la médaille d’or lors de sa présentation à l’Exposition internationale des Arts Décoratifs de Paris en 1925.

Le hall d’entrée, carré majestueux de dix mètres de côté, est coiffé d’une voûte monumentale et d’un lustre en pendentif créé par le maître-verrier rémois Jacques Simon. Sous le lustre au centre du hall, une fontaine symbolise, selon Max Sainsaulieu, la «source de toutes les sciences et connaissances».
Les murs sont lambrissés de grands panneaux en onyx d’Algérie encadrés de bandes de marbre vert. Vingt mosaïques de marbre, conçues par Henri Sauvage, illustrent les diverses activités intellectuelles et physiques de l’homme.

La salle de lecture, avec son parquet en chêne et ses murs lambrissés d’acajou, dégage une atmosphère de sérénité propice à l’étude.
Elle est éclairée par trois baies latérales et une grande verrière zénithale qui sont l’œuvre de Jacques Gruber, célèbre maître verrier nancéien.
La grande verrière, qui représente un livre ouvert sur les armes de la Ville de Reims, est inscrite à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques.

Une salle d’exposition a été conçue dès l’origine, pour présenter les trésors de la bibliothèque.
Le parquet de cette salle, véritable travail de marqueterie juxtaposant des carrés de chêne et d’acajou, est particulièrement remarquable.
Au plafond, la corniche en forme d’escalier renversé est caractéristique de l’esthétique Art Déco.

Les collections sont stockées dans les magasins situés derrière la banque d’accueil.
Répartis sur cinq niveaux, ils peuvent contenir jusqu’à neuf kilomètres linéaires de documents.
Leur forme semi-circulaire, voulue par Max Sainsaulieu, impose une disposition des rayonnages originale, en étoile.
Les magasins ne sont accessibles qu’au personnel de la bibliothèque.

Jusqu’en 2003, la bibliothèque Carnegie était la principale bibliothèque de la ville.
Devenue trop étroite pour accueillir un public de plus en plus nombreux et pour stocker des collections devenues envahissantes, elle a été profondément rénovée en 2004-2005.

Dans le cadre du projet de Bibliothèque municipale à vocation régionale (BMVR), qui a permis l’édification d’une nouvelle médiathèque en 2003, la bibliothèque Carnegie s’est recentrée sur ses missions d’origine: la conservation et la valorisation des collections patrimoniales et locales.

Ce changement de statut a été rendu possible par d’importants travaux de réhabilitation, qui ont permis de faire renaître la splendeur Art Déco des salles d’accueil du public tout en mettant le bâtiment aux normes contemporaines d’accueil des publics et de conservation.

Les travaux de réhabilitation ont permis d’améliorer les conditions d’accueil du public.
L’ancien guichet en marbre, trop hiératique et non conforme aux normes modernes d’accessibilité, a été remplacé par une grande banque cintrée en chêne, dessinée par les architectes chargés de la restauration (J.-L. Roubert et J. Bléhaut).
C’est dans cet espace plus convivial que l’on informe et oriente le public, que l’on procède aux inscriptions, au prêt et au retour des documents.

Afin d’assurer un plus grand confort de lecture, l’ensemble du mobilier d’origine, conçu par Max Sainsaulieu, a été rénové.
Dans la salle de lecture, les tables en acajou ont été agrandies pour augmenter l’espace de travail, des lampes ont été ajoutées pour améliorer l’éclairage, des prises individuelles ont été intégrées pour permettre le branchement des ordinateurs portables.

De multiples postes informatiques, discrètement intégrés au mobilier, permettent d’accéder au catalogue en ligne de la bibliothèque, aux cédéroms et aux bases de données.

De nouveaux espaces d’animation ont été ajoutés. Au rez-de-chaussée, l’ancienne salle de prêt public, avec son lacis d’étagères de livres en libre accès, a été supprimée (la Médiathèque jouant désormais ce rôle).
Cette salle sert aujourd’hui de lieu d’exposition, conformément aux plans originaux de Max Sainsaulieu. Les travaux de réhabilitation ont permis de rénover le superbe parquet d’origine, marqueterie de bois de bout noyée dans du ciment rose.

Au rez-de-jardin, le départ des Archives municipales a permis d’aménager un atelier pédagogique, d’une capacité de 30 places, pour l’accueil des groupes scolaires et des ateliers organisés par la bibliothèque; une petite salle de conférence de 42 places permet aujourd’hui d’organiser conférences et colloques autour des collections que possède la bibliothèque Carnegie.

Les travaux ont également permis une mise aux normes de conservation actuelles.
Tous les magasins de conservation, équipés de fenêtres à double vitrage et de stores anti-UV, sont aujourd’hui climatisés pour garantir une stabilité thermohygrométrique adaptée.

Ouverte au public depuis juin 2005 après deux années de travaux, la bibliothèque Carnegie accueille tous les publics.
La consultation y est libre et gratuite, dans la limite des places disponibles.
Les conditions d’emprunt et de retour se font sous les mêmes conditions que dans les autres bibliothèques du réseau.

Soyez le premier à commenter

Poster un Commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*